Gas Chambers - The Rumor Of The Century - Part 3 [Vincent Reynouard]
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Published on Jun 5, 2023
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Chambres à gaz, la rumeur du siècle partie 3 - Gas Chambers, the Rumor of the Century part 3
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Chambres à gaz, la rumeur du siècle partie 3 Dans cet épisode, vous découvrirez comment la rumeur des « chambres à gaz » fut mondialement élevée au rang de vérité officielle, sanctionnée par une décision de «justice». C’était le 17 novembre 1945, au terme du procès de Belsen, sur le fondement de… quatre témoignages non-vérifiés. Pas un document, pas un plan, pas une expertise, pas une preuve matérielle… Rien. Seuls quatre « témoins oculaires » des « chambres à gaz » homicides présentés par l’Accusation et qui ne purent être contre-interrogés sérieusement par une Défense paralysée. Ubuesque ! A partir de là, la machine s’est mise en route, sans que jamais personne ne vérifie la «vérité». La première étape fut le grand procès de Nuremberg, qui débuta trois jours seulement après le rendu des sentences dans le procès de Belsen. Grâce à l’article 21, qui permettait à l’Accusation de ne pas rapporter la preuve de faits dits «de notoriété publique», la preuve matérielle de l’existence des «chambres à gaz» ne fut pas apportée, puisqu’il y avait eu ce procès de Belsen. Par la suite, les historiens emboîtèrent le pas, sans jamais vérifier. Dans une deuxième partie, Vincent Reynouard explique pourquoi, à leur procès, les « bourreaux » (qui étaient déjà considérés comme coupables) n’ont pas nié les faits.
Gas Chambers, the Rumor of the Century part 3 In this episode, you will discover how the rumor of "gas chambers" was globally elevated to official truth, sanctioned by a decision of "justice." It was November 17, 1945, after the Belsen trial, on the basis of ... four unaudited accounts. No document, no plan, no expertise, no physical evidence ... nothing. Only four "eyewitnesses" of homicidal "gas chambers" by the Prosecution and that could not be cross-examined seriously by a paralyzed Defence. Grotesque! From there, the machine started, no one ever checking the "truth." The first step was the great Nuremberg trial, which started three days after the judgement in the Belsen trial. Thanks to Article 21, which allowed the Prosecution to not provide evidence of facts called "common knowledge", the physical evidence of the existence of "gas chambers" was not given, since there had been the Belsen trial. Subsequently, historians followed suit, without ever checking. In the second part, Vincent Reynouard explains why, in their trial, the "executioners" (which were already considered guilty) have not denied the facts.